Une personne à mobilité réduite au volant d’un véhicule de transport en commun peut-elle être prise pour brave ou de non challente au point de mettre la vie d’autrui en en danger?
Il n’est plus rare de voir une personne à mobilité réduite au volant d’une voiture. Cette dernière, souvent à usage personnel peut être revue à la convenance du ou de la concerné(e). Vu l’évolution que connaît ce côté de l’humanité, c’est plutôt de l’administration qu’on éprouve en voyant ces semblables jouir des mêmes biens et du même bonheur au même titre que d’autres.
Ce qui se passe ces derniers temps, est qu’il devient coutume qu’une personne à mobilité réduite prenne la responsabilité de conduire un bus à usage professionnel de 19 places, ou autre, au volant d’un véhicule non modifié à sa situation physique. Une situation qui ne manque pas de créer de la peur, ajoutée à un silence qui, brisé, pourrait faire passer la personne pour une adepte de la stigmatisation.
<<C’est très gênant de se laisser conduire par une personne qui n’a pas toutes ses facultés physiques, sachant les dangers qu’on peut rencontrer sur la route ou les chichis auxquels les voitures nous exposent des fois, je pense qu’il faut que les autorités compétentes revoient ce cas>>, déclarait Wilfried, usager
La société a su impliquer toutes les couches sociales pour contribuer au développement. Seulement où se trouve la limite lorsque’une personne piquant des crises de folies se met à transporter des vies en longueur des journées ? Lorsqu’un chauffeur de taxi bus se sert de sa canne pour faire fonctionner les pédales dudit véhicule ?
Il est vrai qu’il faut d’autres qualités pour être considéré comme un bon chauffeur, mais le bien-être physique, la possession de toutes ses facultés ne sont-ils pas gage de sécurité pour les nombreuses vies transportées chaque jour ? Il s’impose alors plus de munitie dans le secteur du transport face à ce nouveau phénomène grandissant, afin d’assurer la sécurité des citoyens avant même qu’il ne soit trop tard
