La Journée Internationale de la femme a été célébrée le samedi 8 mars 2025 au Gabon, les festivités ont été organisées par le Gouvernement gabonais, à travers le Ministère de la femme et de la protection de l’enfance. C’est le palais des sports de Libreville qui a servi de cadre à cette cérémonie à laquelle prenaient part les femmes venues de tous les coins du Grand Libreville.
Le Ministre de femme et de la protection de l’enfance, Élodie Diane Fouefoue épouse Sandjoh a déclaré que la journée internationale des droits de la femme a été instituée par les Nations Unies en 1977, commémorée pour la première fois au Gabon en 1984. Cette journée rappelle des nombreuses actions menées par les femmes en vue de la reconnaissance de leurs droits et l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail.
Dans notre pays, a t _ elle précisé, la femme occupe une place prépondérante dans la fiabilisation et le développement de nos communautés, du fait qu’elle représente le socle protecteur des valeurs culturelles et sociales. La condition de la femme gabonaise, des indépendances à nos jours, s’est considérablement améliorée, c’est à dire : de la condition de la femme au foyer, celle qui était assistée à la cuisine, à la femme Ministre, Présidente d’institution parlementaire, Général d’armées, etc…
« La femme dans notre pays participe au même titre que l’homme à la construction d’une nation juste et véritable à travers les différentes politiques et programmes initiés par les plus hautes autorités, en tête desquelles le Président de la transition, le Général Brice Clotaire Oligui Nguema. C’est à ce sens que la réinstitution des richesses en charge des questions de la Femme est la preuve manifeste de l’engagement du Chef de l’État, à œuvrer pour la promotion de la femme dans notre société, » a t _ elle martelé.
En cette journée mémorable qui a donné l’occasion aux participantes d’échanger sur les problématiques et les défis qui les concernent, le Ministre de la femme et de la protection de l’enfance a encouragé les femmes à faire des recommandations fortes et constructives que le ministère de la femme et de la protection de l’enfance retiendra comme perspectives. Les femmes doivent poursuivre leurs ambitions, qu’elles ne s’auto censurent nullement, mais s’engagent plutôt à demeurer vigilantes afin que leurs voix soient reconnues et respectées.
JCB
