Le chien ne change jamais sa façon de s’asseoir« , nous enseigne un adage bien connu de chez nous.
Après des longues années d’accaparement du Gabon, de pillage de ses ressources naturelles et Financières, de fraude électorale et du crime rituel, l’ancien parti au pouvoir s’obstine dans ses usages demoniaques et largement honnies par des gabonais.Devant la furie née du depart de ses rangs avec armes, paquetage et famille de Guy Bertrand Mapangou un des poids lourd, le PDG réalise que d’autres départs fracassants s’ensuivront.Ne sachant comment s’y prendre ou d’y remedier,pour stopper la saignée, les « croques morts » de Louis, c’est ainsi qu’ont les appelle, n’ont recours qu’aux méthodes qui ont toujours caractérisé son existence.N’ayant plus la possibilité de faire chanter, menacer ou tuer tout opposant, ou dissident, le Secrétariat général de ce parti criminel aurait inventé un stratagème pour jouer au dilatoire et esperer faire croire que qu’il maitrise la situation.Il s’agit pour lui de pas délivrer aux anciens militants ayant retrouvé leur liberté de ton un accusé de réception, document essentiel attestant qu’on ne fait plus parti de ses effectifs. Des consignes claires ont été données à toute son administration de ne point répondre aux auteurs de lettre de démission.
Par cette astuce qui en fait est une cale, les nostalgiques de Louis voudraient maintenir malgré elles , les personnes désirant rompre avec le parti.
Cette rétention abusive d’un acte pourtant prévu par ses statuts prouve s’il en était encore besoin que le PDG, habitué au faux et à son usage ne comprend toujours pas ce qui s’est passé le 30 aout 2023 et par conséquent, qu’il n’est plus au pouvoir et que ce n’est pas demain qu’il changera.Affectionnant voler, tricher et piller, il pense qu’à travers ce refus de délivrance de cet acte pourtant prévu dans la procédure, les candidats au départ se decourageront. Il n’en est rien.Ces derniers conscients de leurs droits et devoirs exigent ce papier si non se tourneront vers les tribunaux pour échapper à ce qui ressemblerait à une prise d’otage, recette d’un parti démon aux aboies largement en perte de vitesse.