24 impétrants de l’Ordre Gabonais des Architectes ont prêté serment samedi à Libreville, il s’agit de 3 nouveaux et 21 anciens architectes. La cérémonie a été présidée par le Président du Conseil Supérieur de l’Ordre Gabonais des Architectes Erichk Mauro.
Selon lui, ce serment marque pour les impétrants leur devoir d’exercer la profession d’architecte en toute responsabilité, loyauté et dans l’énorme déontologique.
C’est dans ce sens que le Président du Conseil Supérieur de l’Ordre Gabonais des Architectes a au nom de tous les membres ténu à féliciter les impétrants pour avoir intégré la corporation, tout en leur prodiguant des sages conseils.
» Vous devez être capables de travailler sur toute l’étendue du territoire national et la planète toute entière, un architecte c’est quelqu’un qui travaille aussi à l’international, vous serez donc amené à un certain moment à voyager, découvrir et apporter des transformations pour consolider encore dans notre espace la vision des architectes pour transformer le monde » a t _ il précisé.
Aussi, a t _ il indiqué, l’Ordre Gabonais des Architectes (OGA) a été crée le 30 novembre 1976 parce que le Gabon, dans sa vision d’autonomisation doit se construire par des Gabonais.
L’OGA est membre de toutes les organisations internationales de la corporation que sont : l’Union Internationale des Architectes ; l’Union Africaine des Architectes à laquelle le Gabon occupe le poste de la Vice Présidence ; la Fédération des Architectes Francophones d’Afrique ; l’Alliance des Architectes Francophones.
Pour sa part, le Représentant des impétrants Cathy ABORE a manifesté la profonde gratitude envers le Président du Conseil Supérieur de l’Ordre Gabonais des Architectes, pour la marque de confiance placée en eux, tout en remerciant la direction de la corporation à travers laquelle ils ont appris à porter et à valoriser le titre de » Bâtisseur » tant sur les aspects professionnels que déontologiques.
Occasion pour elle de remercier les aînés pour l’encadrement et leurs précieux conseils qui ont pour but d’éviter de faire les mêmes erreurs.
Jean Claude Boundzanga