Celles-ci interviennent après celles constatées dans Tsamba Magotsi.
C’est désormais au tour de Mandji Ndolou de connaitre des démissions fracassantes au sein du PDG.Pour illustrer notre recit, on apprend que ce samedi 7 décembre 2024, une figure emblématique du PDG, Maryse Matsanga Mayila, épouse Issielmou, a annoncé son retrait définitif de cette formation politique en fin de règne. Ancienne sénatrice , membre influente du Bureau Politique et actuelle sénatrice de la Transition, son départ marque un tournant décisif.
Dans une lettre de démission claire et sans équivoque, dame Matsanga Mayila a rendu officialle sa décision de s’en aller,entraînant dans son sillage un mouvement de démissions spontanées au sein de la Fédération Ismaël Mpira. D’autres militants seduits par cet acte ont choisi de suivre son exemple, laissant le PDG affaibli dans cette partie stratégique du pays.
Rappelons que des demissions en cascade ont commencé pat Tsamba Mogotsi où le leader du » Rassemblement » a décidé de prendre en main son propre destin. Toute chose qui fzit à certains observateurs que l’ancien parti au pouvoir connaitreit un problde management.Mapangou qui avait un leadership affirmé est parti, alors qui pour le remplacer ?
Le départ de Maryse Matsanga Mayila n’arrange rien, perçue comme une personnalité influente et respectée, pourrait ouvrir la voie à une recomposition du paysage dans cette partie du pays.
Une region qui a besoin d’un nouveau soufgle Alors que certains militants envisagent d’autres horizons, d’autres pourraient être tentés de rejoindre des formations politiques émergentes ou de se recentrer sur des initiatives citoyennes indépendantes.
En attendant, le PDG devra réagir rapidement. La question demeure : le parti saura-t-il transformer cette crise en opportunité pour se renouveler ou continuera-t-il de subir les conséquences d’une désaffection croissante de ses cadres et militants ?
Seul l’avenir nous le dira, mais une chose est sûre : à Mandji-Ndoulou comme ailleurs, la contagion des démissions pourrait bien redessiner les lignes du paysage politique gabonais.Et c’est tant mieux pour « Le Rassemblement « !