Devant le médiateur de la Communauté Economique des Etats de l’ Afrique Centrale,le président de la Centrafrique, Archange Touadera ,les diplomates accrédités à Libreville et des nombreux participants, le président de la Transition, président de la République, Chef de l’État, Brice Clotaire Oligui Nguema à ouvert ce jour au Palais de sports , les travaux du Dialogue national inclusif initié par le Comité pour la Restauration des Institutions- CTRI dont il est le président.
Du 2 au 30 avril 2024, les 600 participants vont se pencher sur l’etat des Institutions en République gabonaise et tenteront de donner forme aux milliers de contributions que les gabonais, toutes tendances confondues ont faites et souhaiteraient voir transformer en lois qui amélioreraient leur quotidien.
Dans son allocution de circonstance, le Général Oligui Nguema a salué l’intérêt placé par ses comptiotes sur cette initiative, et promis appliquer les résolutions qui en sortiraient de ce énième conclave, lequel se tient à l’heure dite de la libération du pays par les militaires.
Le dialogue national qui s’ est ouvert ce jour n’évoquera certainement pas les questions relatives aux multiples cas de violence politique qui ont eus lieu dans ce pays. » Nous n’allons pas à ce dialogue pour des règlements de comptes « , à laissé entendre dernièrement, la ministre porte- porale du gouvernement, Laurence Ndong, vite renchéri par sa collègue de la réforme des institutions, Florence Minkwe qui déclarait quelques heures avant l’ ouverture du dialogue ne pas pouvoir lui donner la forme d’une Commission Vérité Réconciliation, réclamée par plusieurs voix qui contestent le format retenu par les autorités.