À l’occasion de la célébration de la fête du travail, le 1er mai dernier, Dr Olivier REBIENOT PELLEGRIN a communiqué avec prodigalité.
«J’ai entendu dire que la CNSS a des problèmes. Mais c’est bizarre, depuis que je suis là, je ne sais pas où sont ces problèmes! », a-t-il déclaré devant les agents en fête.
Des tensions de trésorerie ont fait craindre des difficultés à la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS). Si le Dr Olivier REBIENOT PELLEGRIN confirme des problèmes, il assure que l’entreprise n’est pas du tout en péril.
« La CNSS a des problèmes comme toute entreprise et la CNSS a des solutions à ses problèmes. Les solutions à ces problèmes sont là…et elles sont connues de tout le monde. Et il suffit de les mettre œuvre ! », a-t-il lancé. Une fois n’est pas coutume, le très discret directeur général de la société, Olivier REBIENOT PELLEGRIN, est sorti de sa réserve. Il a accepté de remettre les pendules à l’heure et de faire le point sur la situation de la boîte.
Sa meilleure communication c’est le travail bien fait !
Il y a quatre mois, la CNSS se séparait de l’administrateur provisoire Christophe Eyi. Depuis, c’est le Dr Olivier REBIENOT PELLEGRIN qui a repris les rênes. De quoi faire naître de nombreuses espoirs sur le devenir de l’entreprise.
Sa mise au point, le directeur général l’effectue sans ambages. « Nous avons rédigé un plan quinquennal, qui a un financement. La CNSS pour moi n’a pas de problèmes. La CNSS est un établissement qui a des bases suffisamment solides pour résoudre ses problèmes qui sont latents, et qui donnent l’impression d’être insurmontables parce qu’ils ont été figés pendant trop longtemps. », affirme REBIENOT PELLEGRIN.
Le directeur général, pour lequel le travail est la valeur essentielle, a exhorté les uns et les autres à faire preuve de responsabilité. « Dans la vie, on obtient des choses que par le travail, il n’y a pas de magie ou de pierre philosophale, c’est le travail. La CNSS l’année prochaine aura 50 ans. Et 50 ans, chez nous les bantous c’est l’âge de la sagesse. Quand on a choisi d’être au service de l’être humain, de ses concitoyens, il faut faire des sacrifices ! […] Nous avons un devoir envers nos concitoyens. C’est qu’il faudrait déjà commencer par faire en sorte que l’image de la CNSS ne soit plus jamais ternie », a-t-il martelé.
