C'est depuis le 13 juillet 2020 que ces fonctionnaires gabonais ont mis du feu à la paille. Alors que leurs revendications se résumaient en 3 points essentiels, le mouvement s'est étalé sur des mois de détermination qui ont coûté des milliards à l'État gabonais; aujourd'hui ces agents par la voix de la FECOREFI entendent ramener de l'apaisement au sein de leurs différentes administrations.
C'est en guise de réponse à la volonté du gouvernement à pallier les manquements exprimés dans leurs cahier de charges, volonté exprimée par les différentes démarches initiées par le gouvernement
Revenus dans les rangs, la COFERI formule pour le compte de l'an 2021, le souhait d'une année de l'espoir et du travail. Dans un cadre où la Covid-19 ne semble pas vouloir plier bagages, ces fonctionnaires gabonais veulent garnir à nouveau les caisses de l'État, dans le souci de jouer leur partition dans la redynamisation de l'économie gabonaise.
Si l'on a pu lire ce qui semble relever d'un élan de prise de conscience patriotique et une nouvelle dynamique dans cette crise de front social, il n'en demeure 4moins que le dernier mot revient à la base, qui n'a pas encore dit son dernier mot.