Cette structure patronale a pour objectifs de garantir les intérêts moraux et professionnels des directeurs des publications paraissant en ligne.
Occasion pour son président Thierry Mebalet Ekwaghe de faire la genèse du mouvement qu'il dirige.On retiendra que c'est depuis plus de 5 ans que lui et les siens ont pensé à mettre surpieds une structure du genre. Mais pour des raisons indépendantes à leur volonté, celle-ci avait mise enveilleuse probablement pour mûrir la stratégie.
Aujourd'hui, c'est chose faite, car depuis un an, le CPPPL s'est mis sur les rails, a tenu sonassemblée générale constitutive, laquelle a désigné un bureau de neuf membres. La cérémonie de présentation du dimanche 13 décembre a donc été mise à profit au dit bureau de donner quelques appréciations des questions essentielles à ses aspirations. Par la voix de son premier responsable, le cercle des patrons de la presse privée en ligne s'est réjoui de la confiance que lui témoigne les autorités du ministère de la communication.
Une confiance partagée avec d'autres structures similaires de la corporation qui leur permis de prendre part et mieux défendre les intérêts de leurs adhérents à la commission d' attribution de la subventionallouée à la presse écrite par le gouvernement. Celle-ci qui était de 500 millions est désormais à 127 millions.Un montant dérisoire au regard des attentes des patrons des médias toutes tendances confondues. Aussi, il faut le mentionner, le président a appelé ses confrères à se faire violence pour se faire respecter par les lecteurs, quand bien même le contexte difficile qui est le leur. Il a terminé son laïus par un appel au gouvernement pour multiplier les formations au profit des communicateurs.